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Notre monde est un monde de magie. Il est divisé en deux grands continents. D’un côté, la glaciale Moniris, menée d’une main de fer par la famille impériale. Adepte de la technologie et ils vénèrent également de sombres divinités. De l’autre côté, Symmachia, une merveille de biodiversité regroupant plusieurs races humanoïdes vivants en paix entre elles. Bénis par les divinités, les peuples de Symmachia sont en harmonie avec les forces naturelles, développant une affinité particulière avec la magie.La suite

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mésaventures et quiproquos
Dim 26 Mai - 0:44
Patchouli MacFarland
Patchouli MacFarland
22
Firis Mistlud
gabriel & patchouli
mésavantures et quiproquos




«J’ai jamais rien vu d’aussi beau de toute ma vie... » Son sac sur le dos, son sceptre dans une main, les yeux brillants et un filet de bave au coin de la bouche, Patchouli admirait inlassablement l’énorme espadon qui trônait royalement au centre d’une étale où reposait toutes sortes de poissons plus petits.
« Va-t-en gamine! Tu fais fuir mes clients! » La poissonnière tendait le manche d’un balais pour lui frapper gentiment l’épaule et essayer tant bien que mal de faire dégager cette abrutie avant qu’elle ne commence à prendre racine. La voyageuse se frotta le haut du bras avec une mine légèrement boudeuse et quitta les lieux avant de se prendre davantage de coups. « C’est injuste, si seulement ce maudit voleur ne m’avait pas...volé. Ugh! Lui si je le retrouve! Il va m’entendre! » A ces mots, la luciole frappa plusieurs petits coups sur la vitre de sa lanterne. « Tout à fait! » Rétorqua la petite blonde en avançant les poings serrés devant elle, mimant à son tour quelques coups dans le vent.

Le soleil à son zénith, l’air de la ville s’était enflammé et Patchouli fût contrainte de se trouver un coin à l’ombre pour ne pas fondre. Alors qu’elle désespérait en comptant les dernières gouttes d’eau que comptait sa gourde, son regard fût lentement attiré par les reflets scintillant d’une fontaine. Celle-ci semblait bien gardée. Les habitants faisaient la queue sagement pour remplir leur jarres une à une, sous le regard méfiant de deux rajuls aux airs félins, tenant chacun une lance et placé de chaque côté.
La jeune femme, précédemment assise contre un mur à même le sol, se redressa pour se diriger, gourde en main, vers la source et se plaça en fin de fil, se tenant parfois sur un pied pour jeter un oeil à l’avant. De là, elle vit un vieillard se faire bousculer au sol, et sa jarre se briser en mille morceau dans sa chute, par l’un des soit-disant gardes. Il semblait complètement apeuré alors qu’un d’eux lui hurla: « Pas plus de deux jarres! C’est la vieillesse qui te rend sourd?! Aller dégage! »

Les sourcils de Patchouli se froncèrent sévèrement. Face à une telle situation, difficile de rester en place, surtout que personne d’autres ne semblait intervenir, presque comme si tout était normal. Fève se déchaînait dans sa lanterne, cette fois non pas pour encourager son amie, mais plutôt pour l’avertir. Trop tard. Patchouli sort de la queue et s’avance pour s’interposer entre le garde et l’homme toujours au sol, l'empêchant par la même occasion de lui livrer un coup de pied - ou de patte en l'occurrence -. Tout en dévisageant l’homme-tigre, elle avait posé un poing sur sa hanche et l’extrémité de son sceptre frappa le sol fermement. « Il suffit! » Malgré son ton sérieux, son vis-à-vis ne put s'empêcher de la trouver incroyablement ridicule, sans doute parce qu’il devait bien faire trois tête de plus qu’elle et qu’elle tentait quand même de l’intimider. « Laissez-le! »

Alors qu’il se baissa pour rapprocher son visage du sien, elle s’étonna un peu, mais se reprit bien rapidement pour essayer de ne rien laisser paraître. A quelques centimètres seulement de son visage, il souffla dans un grognement puissant à travers son imposante truffe, obligeant Patchouli à fermer presque entièrement ses paupières et réussir à faire voler quelques mèches de ses cheveux.
Les battements de son coeur s'accélèrent et elle commença doucement à se demander si elle ne venait pas de faire l’énième bêtise de la journée. Seulement poussée par sa volonté de bien agir, elle resta immobile, beaucoup moins confiante, mais immobile. En rouvrant les yeux, elle jurerait l’avoir vu sourire un bref instant avant de soudainement retrouver une expression des plus sévère. Il se redressa, jeta un regard par dessus son épaule pour faire signe à son camarade de se rapprocher et lui chuchoter quelque chose.

Puis tout se déroula très vite, chacun lui saisit un bras et la surélèvent à une dizaine de centimètres du sol, la laissant pédaler dans le vide. « Qu’est-ce que vous faites?! Lâchez-moi! Laissez-moi tranquille! Où est-ce que vous m'emmenez?! » Tout en s’égosillant, elle tentait de se débattre, remuant comme un petit animal prisonnier. « Silence voleuse! Tu as des comptes à rendre à Akhaar. » La colère laissa place à la confusion alors qu’elle continuait à gigoter pour espérer s’échapper. Akhaar? Où est-ce qu’elle avait entendu ce nom déjà? Puis son visage s’illumina. « Oh! » Au loin, elle reconnu le palais du noble chez qui elle s’était rendu la veille. « Oh non… » Elle fût secouée par une terrible angoisse. « Non! Non non non, vous comprenez pas! C’était pas moi! Je- S’il vous plait! Attendez! J’peux vous expliquer! » En y réfléchissant, c’était vraiment pas malin de rester en ville après s’être échappée...
Code by Silver Lungs
Re: mésaventures et quiproquos
Ven 31 Mai - 14:05
Gabriel M. Alvaro
Gabriel M. Alvaro
88
Charlemagne - Fate/Series
THE WHITE KNIGHT
Mésaventures et quiproquos - Patchouli
A l'origine, Gabriel était sur le chemin pour rentrer chez ses parents, comme il le faisait de temps en temps pour leurs donner des nouvelles. Il aurait put prendre un Zeppelin, la ville où résidait ses parents était assez grande pour contenir un aérodrome. Mais il avait préféré prendre un moyen de transport plus terre à terre, à savoir le train. La gare d'Antre-Ciel avait quelque chose d'impressionnant, tout fait de blanc, comme une vaste plaine enneigé, le train lui était chatoyant, mais tout ses détails n'ont au final que peu d'importance.

C'est à dans une petite gare de campagne que Gabriel croisa une connaissance qu'il ne s'attendait pas du tout à voir. S'Himba était son maitre d'arme, mais également un proche ami de son père. Rajul lion s'étant illustré dans la guerre, il s'était mit au service de la famille Alvaro après que le père du jeune homme lui ait sauvé la vie. Si le Rajul était libre d'aller et venir comme il le désirait dans la demeure familial, il était rare qu'il quitte la propriété de la famille. Et pourtant le voici, à attendre un train, manifestement en direction de Sarathalan. Quand il remarqua son jeune maitre, il bondit en sa direction et ils discutèrent un bon moment. Gabriel décida finalement de l'accompagné dans son voyage dans sa famille, pour que les membres de la tribu Al'Asad rencontre le fils de l'homme lui ayant sauvé la vie. C'est donc ensemble qu'ils prirent la direction de Al'kha'Tib, le fief de la famille Al'Asad.

Heureusement pour le jeune homme, il ne portait pas son armure, mais une tenue bien plus légère, lui évitant de trop souffrir de la chaleur, mais c'était quand même assez intense pour le jeune aventurier. La première chose qui sauta aux yeux de Gabriel, c'était l'abondance de Rajul Félin dans la cité. S'Himba lui avait expliqué que les rajuls venaient en énormément de tailles et d'espèces, mais la surabondance féline le surprenait véritablement. Après il n'aurait pas dû être surpris, dans la nature les félins donnaient naissances à de nombreux petits par portés, ça se reportait peut-être sur les Rajuls félins également... S'himba quitta Gabriel, il devait préparé sa famille à la venue de son jeune maître. Il ne devrait pas faire tant d'effort songea le jeune garçon en regardant son ami partir. Il considérait le Rajul comme son oncle, aussi trouvait-il toujours cela aussi bizarre de l'entendre lui parler comme s'il était une sorte de Prince. En tout cas, ils devaient se retrouvés au même endroit dans quelques heures. C'était l'heure de faire un peu de tourisme !

Le marché était bondé à cette heure-là, et il avait suffisamment de gens pour que Gabriel ne sente pas trop les regards sur lui. De temps en temps il entendait des Rajuls le traité de « Sans Pelage », mais il n'y prêtait pas attention. Ou du moins il ne voyait pas ça comme une insulte, c'est vrai qu'il n'avait pas de pelage...

« Il suffit! »

L'éclat de voix attira Gabriel, qui posa sa main sur le manche de sa lame, tout en se dirigeant vers la source du cri. Il ne portait pas son armure, elle se trimbalait dans le sac qu'il portait dans son dos, et de toute façon il n'aurait pas eut le temps de la revêtir en cas de danger. Il se retrouva face à une scène incongru, une fille -humaine apparemment- s'était interposé entre un vieux rajul à terre et un garde manifestement trop zélé.

« Laissez-le! »

Yep, manifestement un abus de pouvoir tout à fait classique aux yeux de Gabriel. Il préféra cependant ne pas intervenir, c'était typiquement le genre de chose qui lui coûterait sa place dans la guilde des aventuriers... Sans parler des problèmes diplomatiques que cela entraînerait. Son père était certes un héro de guerre, mais ca n'empêchait pas la Loi et les Conventions de s'appliquer sur lui. Le Rajul tigre se montrait cependant très menaçant envers la jeune fille, qui fput bientôt littéralement cueillit par le garde et son ami. La prise de Gabriel sur son épée se fit beaucoup plus forte. Simplement pour avoir protéger un petit vieux, elle allait finir en geôle ?

« Qu’est-ce que vous faites?! Lâchez-moi! Laissez-moi tranquille! Où est-ce que vous m'emmenez?! »

Ce fût le cri qui mit le feu aux poudres de la patience du jeune noble humain. Il préféra cependant ne pas s'attaquer directement aux gardes. Il laissa les gardes prendre une bonne longueur de distance avant de se lancer à leurs poursuites, le plus discrètement possible. La foule était heureusement suffisamment épaisse pour qu'on ne le repère pas. Il n'entendit pas la conversation entre les gardes et la demoiselle, mais son instinct lui dictait de la sauvée, comme une force incontrôlable ayant prit contrôle de son corps. A l'aide sa magie, il infiltra les ombres et prit énormément d'avance sur les gardes, surgissant devant eux à quelques mètres à peine du palais. Une légère brise semblait entouré Gabriel, tandis que Vishnu se posait sur son épaule, défiant les gardes avec un regard hautain dont il avait le secret. La main toujours sur le manche de son arme, Gabriel se pencha légèrement dans la direction des gardes, masquant du mieux qu'il pouvait sa contrariétés.

« Messieurs, je vous saurais gré de ne pas traiter une demoiselle de façon aussi rude que celle que vous êtes en train d'appliquer à l'instant même. Je ne vois pas en quoi la protection d'un vieillard lui vaut un tel traitement. »

Forcément, Gabriel n'était pas au courant de l'histoire du vol dans laquelle elle avait été impliquée, eut-il été au courant qu'il aurait de toute façon agit de la même manière, désapprouvant complètement cette méthode violente.
Re: mésaventures et quiproquos
Ven 31 Mai - 22:31
Patchouli MacFarland
Patchouli MacFarland
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Firis Mistlud
gabriel & patchouli
mésavantures et quiproquos



C’est à deux pas de l’entrée du palais que surgit de nul part un jeune homme, interrompant la marche des deux gardes. Aussi confuse qu’eux, Patchouli l’observe d’oeil, puis tourne la tête vers son escorte avant d’être de nouveau interpellée par une paire d’ailes. Son cerveau carbure, elle a l’impression d’avoir déjà vu une image du volatile dans un livre, mais impossible de le resituer. Tout ce qu’elle sait à ce moment, c’est qu’il est plutôt intéressant. Elle est tellement distraite par l’animal qu’elle ne s’attend pas à ce qu’on lui tire un peu plus le bras, lorsqu’un des gardes décide de s’approcher en se voulant intimidant. « Aïe! » Grogna-t-elle, un peu frustrée de ne pas pouvoir lui rendre la monnaie de sa pièce sans s’attirer encore plus d’ennuis.

« Messieurs, je vous saurais gré de ne pas traiter une demoiselle de façon aussi rude que celle que vous êtes en train d'appliquer à l'instant même. Je ne vois pas en quoi la protection d'un vieillard lui vaut un tel traitement. »

Les paupières de la miséreuse se mettent à cligner de façon répétée. Est-ce qu’elle a bien entendu ce qu’elle vient d’entendre? Première chose, c’est sans doute la première fois qu’on la désigne comme étant une demoiselle et non pas une enfant. Un petit choc en soit. Mais plus important encore, on prenait sa défense sans véritable raison. Elle en resta bouche-bée, les yeux rond. « J’peux savoir en quoi ça te concerne? » Le rajul qui s’était avancé pause et tourne son regard vers elle. Patchouli déglutit et voit un sourire narquois naître au coin de ses babines, comme s’il venait de comprendre quelque chose. « Un de tes complices je présume? » Elle secoue vivement la tête de gauche à droite, mais rien à faire, l’idée s’est déjà gravée dans sa tête. « T’aurais mieux fait de l’abandonner mon grand. » D’un geste il fait signe aux gardes devant l’entrée pour qu’il vienne saisir le second humain.

« Attendez, vous faites erreur! Je ne le connais pas! » « Mais oui, bien sûr. T’auras qu’à dire ça à Akhaar, on verra s’il te croit, lui. » « Mais vous comprenez rien! Puisque je vous dis que je l’ai jamais vu! Raaah! » Sous la colère, elle envoie son talon dans la cuisse d’un des gardes. « Saloperie! » D’un coup, elle se fait envoyer au sol et la quasi totalité de son énorme sac se déverse à ses côtés alors qu’elle se tient à présent sur ses quatre membres. « Aller! Debout et avance! » Alors qu’elle se relève difficilement, une lourde patte vient la bousculer en avant, l’obligeant à faire quelques pas à l’intérieur. Avant de passer la porte, elle jette un regard désolé à celui qui désirait visiblement lui venir en aide.
Une fraîcheur inattendue remplace la chaleur sèche du désert, une fois qu’elle se met à fouler le marbre dans l’entrée. L’endroit n’a pas changé, toujours aussi splendide. Dommage qu’elle ne soit simplement venu visiter l’endroit…

On la guide sans ménagement dans la salle où elle s’était présenté la veille, l’obligeant à s’agenouiller sur le tapis, maintenu comme si elle présentait un réel danger. Evidemment, il était déjà là, l’énorme rajul, las sur son fauteuil. Honteuse, elle baisse la tête et aussi parce qu’elle a un peu peur, mais ça elle refuse de se l’avouer. « On en a un autre. » Signale le garde à ses côtés. Discrètement, elle observe la porte avec un poil d’espoir. Certes, impliquer un innocent dans ses histoires n’est pas une bonne chose, mais elle se sentirait vraiment rassurer de ne pas se retrouver seule dans cette situation.

hrp:
Code by Silver Lungs
Re: mésaventures et quiproquos
Ven 14 Juin - 21:00
Gabriel M. Alvaro
Gabriel M. Alvaro
88
Charlemagne - Fate/Series
THE WHITE KNIGHT
Mésaventures et quiproquos - Patchouli
« J’peux savoir en quoi ça te concerne? »

En rien, c'est vrai, mais Gabriel préféra rester silencieux sur cet état de fait. C'était simplement sa façon d'être, peu importe les raisons, personne ne devrait avoir à traités une jeune fille comme ça, sans même parler du traitement cruel qu'ils avaient infligés au pauvre vieillard qu'on aidait à se relever, il lança un regard désolé à Gabriel, lequel lui répondit avec un sourire tranquille, faisant signe que tout se passerait bien.

« Un de tes complices je présume? T’aurais mieux fait de l’abandonner mon grand. »

Clairement Gabriel ne savait pas dans quoi il s'embarquait, toujours est-il qu'il fut rapidement maîtriser comme un vulgaire criminel. Néanmoins, peu vigilant ou tout simplement trop bête, les Rajuls lui avaient laissés son épée, ce qui serait un plus quand le moment opportun viendrait... La jeune fille tentait désespérément de faire comprendre aux brutes que Gabriel lui était inconnu, mais manifestement les gardes étaient dur de la feuille, ou tout simplement bien trop zélé. En tendant l'oreille, Gabriel avait entendu une Rajul dire à son amie que Patchouli faisait partit d'un groupe de voleur qui s'était emparé d'un sacré magot quelques jours auparavant. Quiconque ayant un minimum de neurone aurait comprit que ce n'était pas le cas : qui serait assez débile pour revenir sur les lieux du crime comme un  touriste ?

Dans tout les cas, ils fûrent tout deux conduit à l'intérieur d'un batiment, Gabriel n'avait pas eut le temps de voir lequel cependant. Il avait bien évidement envoyer Vishnu récupérer S'Himba, qui plaiderait en leurs faveurs, personne n'oserait remettre en question les paroles d'un héro de guerre, surtout quand ce dernier était l'un des gardes du Sultan, quand bien même serait-il à la retraite. La salle où se trouvait un immense Rajul, bien plus imposant que les deux gardes. Un simple coup d’œil suffisait à voir que ce n'était pas du gras, mais bel et bien du muscle qui composait la majorité du physique de l'hôte des lieux. Si la jeune femme gardait la tête basse, honteuse d'être dans une position aussi dégradante, Gabriel lui gardait son regard planté dans celui de l'hôte des lieux, qui ne semblait pas franchement surpris qu'on lui tienne tête, c'était sûrement la norme dans un pays comme celui-ci.

...Bon, l'acte du prisonnier bien sage avait déjà assez duré du goût du jeune Mage-Guerrier. Au moment où le Rajul relâcha sa prise pour le faire s'agenouiller, Gabriel s'entoura de son aura élémentaire, comme l'aurait fait un Garuda dans son habitat naturel. Repoussé, le garde tituba légèrement, laissant assez de distance à Gabriel pour qu'il puisse faire un bond en arrière, se mettant à une distance respectable des gardes, son épée au clair dans la foulée. Sa pose de combat n'était pas sans rappeler celle que prenait les gardes du sultan, ce qui ne manqua pas de désarçonnés les gardes, qui n'osèrent du coup pas s'approcher. Maintenant sa forme, Gabriel lança au regard au garde qui maintenait Patchouli avant de lâcher d'une voix forte, pour se donner l'air impressionnant.

« Est-ce ainsi que vous traitez l'apprenti du seigneur S'Himba Al'Asad ? »

Ce nom n'était inconnu de personne dans la cité, puisqu'il s'agissait du fils de l'ancien gouverneur de la cité d'Al'Kha'Tib, autant dire que ses mots avaient presque valeur de loi ici. Bien qu'il n'assuma pas lui-même la fonction, l'honneur du nom «Al'Asad commandait le respect. Bien entendu Gabriel ne connaissait pas le passif de son maître d'arme, il le pensait être un simple garde du sultan ayant survécu au champ de bataille avant d'offrir sa vie et ses services à la maison Alvaro. Dans tout les cas, l'annonce du nom de S'Himba sembla paralysé légèrement les gardes, qui ne maintenait plus la jeune fille aussi durement qu'avant. Gabriel ne relâcha cependant pas sa garde, au cas où ils préparent quelque chose de tordu...

Spoiler:

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